Un voleur trahi par une Xbox 360

Posté il y a 18 ans, 6 moiss à 6:02. 1 commentaire

Pour finir la semaine en beauté, voici une histoire comme il arrive si souvent, mais qui fait toujours bien rire: Un voleur est arrêté, trahi par une Xbox 360.

Le 23 janvier dernier en Nouvelle-Zélande, un voleur s’introduit par infraction dans un domicile et repart avec une console 360 ainsi que des jeux. Comble de malheur, il a oublié d’emporter le bloc d’alimentation de la console.

Le voleur décide alors d’appeler le support de Microsoft et demande si on peut lui envoyer par la poste un nouveau bloc d’alimentation. Le voleur donne son vrai nom ainsi que sa vraie adresse pour recevoir son paquet.

Par contre, ce qui est malheureux, est que Microsoft aurait refusé de donner à la police les informations du voleur et la police a dû s’adresser à la cour pour forcer Microsoft à lui fournir les infos.

De plus, quand la victime a appelé chez Microsoft pour leur dire qu’il a été victime d’un vol et ainsi faire bloquer la console au service Xbox Live pour ne pas se faire « vider » sa carte de crédit, on lui aurait simplement répondu que « la console était déjà enregistrée sous un autre nom (celui du voleur) et on ne pouvait rien pour lui ». C’est à ce moment que la victime contacta la police pour porter plainte.

Microsoft se défend en disant qu’elle ne voulait que protéger les informations de ses clients et ne sachant pas réellement à qui elle faisait affaire, a décidé de coopérer seulement avec le mandat de la cour pour s’assurer que l’histoire ne soit pas fausse.

Microsoft indique également que les lois aux États-Unis ne sont pas les mêmes qu’en Nouvelle-Zélande. La police allègue dans le même sens, mais indique que même si Microsoft était dans ses droits de ne pas divulguer les informations du voleur à la police sans un mandat de la cour, un peu plus de coopération n’aurait pas fait de mal non plus.

Une console, même numéro de série et deux propriétaires, c’est douteux…

une reponse

  1. Destoo 9th Fév 2007

    Hmm… du point de vue de Microsoft, ca aurait pu être seulement une vente légale d’un xbox, et le vendeur aurait voulu arnaquer l’acheteur… C’est pas facile a prouver, dans un sens comme dans l’autre.


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