C’est maintenant les distributeurs qui se plaignent à Microsoft

Posté il y a 17 ans, 10 moiss à 3:49. 1 commentaire

C’est une bonne nouvelle pour les consommateurs qui ne seront plus seuls dans la bataille de David contre Goliath, car certains distributeurs se mobilisent et envoient des lettres de plaintes à Microsoft sur les Xbox360 qui tombent en panne.

C’est un peu plus de 30 % des consoles en circulation qui tomberaient en panne, et c’est avec 3 consoles sur 4 qui tombent sous les « lumières rouges de la mort ».

« Des revendeurs ont demandé à ce que Microsoft s’occupe de ses consoles Xbox 360 dont le taux de panne dépasse les 30%. Plus de cent clients ont écrit à SmartHouse pour se plaindre du service après-vente déplorable de Microsoft et de leurs consoles qui ne fonctionnent plus du tout. Un client a même reçu une console de seconde main en échange de sa Xbox tombée en panne…»

Il est certain qu’il ne faut pas mettre sa console dans un meuble fermé, mais même avec la meilleure aération possible, les consoles tombent comme jamais.

Moi-même ayant eu ce problème, le service à la clientèle est également dans la mire des détaillants et doit être amélioré.

Avec des délais allant dans la majeure partie des cas entre 3 et 8 semaines de délais, Microsoft se dit être dans les normes… pourtant il est clairement indiqué sur le site même de Microsoft :

2. Faster Service: We are implementing an expedited repair process; upon receipt of the console, Microsoft will repair it and ship it to you within five business days.

Quand Microsoft recevra votre console, il répare et envoie la nouvelle console en dedans de 5 jours ouvrables… ce qui est faux, car c’est souvent entre 15 et 40 jours que les joueurs reçoivent leur console.

Microsoft se défend en disant toujours le même discours, que c’est seulement 5% des consoles qui sont défectueuses, et que le temps que la console est sous réparation, Microsoft donne en prime une carte Xbox Live d’un mois (ou deux) en compensation.

Quoi qu’il en soit, ce n’est maintenant plus une guerre que les consommateurs bataillent seuls, ayant les distributeurs avec eux dans cette aventure extrêmement malheureuse.